Haïti/ Presse: Le journaliste Jean Claude Geffrard victime d’agression
Jean Claude Geffrard, journaliste de Radio Passion FM et correspondant de radio Lumière dans le Nord a été victime d’agression le jeudi 12 novembre par le juge titulaire du Tribunal de paix (section sud) du cap-Haïtien, Me Lévy Augustin, dans l’exercice de sa profession.
Le juge a détruit le matériel de travail du journaliste notamment son téléphone portable alors qu’il s’est clairement identifié. Jean-Claude Geffrard a été agressé au moment où il couvrait une opération de ” levée de scellés” sur les portes d’une succursale de la CAM-Transfert située sur la nationale #1 à l’entrée sud du Cap-Haïtien ( la deuxième ville d’Haïti) non loin de carrefour Cité du peuple).
Rappelons que cette succursale de CAM-Transfert était fermée depuis le 6 octobre dernier. Des scellés y ont été apposés après que l’un de ses agents de sécurité aient ouvert le feu sur des clients massés devant le bureau le 5 octobre. Ce qui a causé la mort immédiate de madame Dieulène Hector.
Par ailleurs, la corporation des journalistes du Nord voient en cet acte une tentative de baillonement de la presse et du piétinement du droit à l’ information. Elle exige justice et réparation pour le journaliste agressé en plein exercice de sa fonction.
Jean Claude Geffrard, journaliste de Radio Passion FM et correspondant de radio Lumière dans le Nord a été victime d’agression le jeudi 12 novembre par le juge titulaire du Tribunal de paix (section sud) du cap-Haïtien, Me Lévy Augustin, dans l’exercice de sa profession.
Le juge a détruit le matériel de travail du journaliste notamment son téléphone portable alors qu’il s’est clairement identifié. Jean-Claude Geffrard a été agressé au moment où il couvrait une opération de ” levée de scellés” sur les portes d’une succursale de la CAM-Transfert située sur la nationale #1 à l’entrée sud du Cap-Haïtien ( la deuxième ville d’Haïti) non loin de carrefour Cité du peuple).
Rappelons que cette succursale de CAM-Transfert était fermée depuis le 6 octobre dernier. Des scellés y ont été apposés après que l’un de ses agents de sécurité aient ouvert le feu sur des clients massés devant le bureau le 5 octobre. Ce qui a causé la mort immédiate de madame Dieulène Hector.
Par ailleurs, la corporation des journalistes du Nord voient en cet acte une tentative de baillonement de la presse et du piétinement du droit à l’ information. Elle exige justice et réparation pour le journaliste agressé en plein exercice de sa fonction.
