Harcèlement sexuel au Parc industriel Caracol, la S&H Global dément
Plusieurs syndicats et les dirigeants de S&H Global rejettent d’un revers de main les accusations d’harcèlement sexuel sur ouvrières au parc industriel Caracol. Lors une conférence de presse, la S&H Global S.A dit avoir informé à travers la presse qu’un “syndicat” dénommé ROHAM faisant état de cas d’harcèlement et de corruption au sein de ladite compagnie.
Affectée par cette publication, l’administration de la Compagnie précise que : La S&H Global S.A reste et demeure une compagnie ouverte au dialogue sociale et respectueuse des normes et lois haïtiennes et internationales en matière de travail depuis son établissement à Caracol en 2012. Pour justifier leur dire, ils révèlent que cinq (5) syndicats de différentes tendances fonctionnaient en toute autonomie au sein de la Compagnie.
De l’avis du consultant de la S&H Global Wilborde Béon, les cas d’harcèlement sexuel sont devenus monnaie courante dans notre société et affirme que la compagnie pour laquelle il travaille a l’habitude de traiter ces cas avec rigueur. En outre, les responsables de cette usine textile sud-coréenne informent qu’ils reçoivent régulièrement des plaintes d’éventuelles victimes parfois sous couvert d’anonymat, et que des dispositions ont été prises pour assister les victimes.
Notons que des investigations sont en cours au sein de la Compagnie afin d’appliquer les mesures qui s’imposent et des lois en vigueur ainsi qu’un système en ligne est également disponible pour recevoir les doléances des victimes.
