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Coronavirus Pour protéger son économie , l’Iran met fin au confinement malgré l’accélération de la propagation

 

Entre les risques qu’il fait prendre à ce dernier et celui d’un effondrement économique, le président Hassan Rohani, a opté pour la premier, seule solution envisageable pour lui et ce malgré le danger d’une accélération de la propagation du coronavirus (Covid-19) et qui se fait de plus en plus évidente.

La République islamique de ce fait, s’oriente donc vers la reprise à très court terme de ses activités économiques.

Une situation qui suscite l’inquiétude des personnels soignants et médicaux iraniens car la pandémie est loin d’être maîtrisée voire même d’être gérée à bon escient.

C’est un secret de Polichinelle, l’économie iranienne est en très grande difficulté à cause, notamment, des sanctions américaines et de la chute importante des cours du pétrole.

Téhéran parvenant toutefois via le canal de ses alliés à exporter et écouler son or noir en faibles quantités malgré les sanctions de restrictions à son encontre.

L’Iran dans le marasme sanitaire qu’elle travers, et pour une première fois depuis 1960, a demandé au Fonds monétaire international (FMI) de lui faire un prêt de 5 milliards de dollars (environ 4,6 milliards d’euros). Sans conviction cependant car l’Oncle Sam veille. Et pour cause, Donald Trump s’y oppose fermement. Il accuse Téhéran de vouloir utiliser cet argent pour ses « activités terroristes » dans la région et donc tant que les Etats-Unis resteront dans cette perspective, le FMI ne devrait pas accorder le moindre sou à la République islamique d’Iran.

Bref, cette décision pour le moins paradoxale prise par Hassan Rohani intervient alors que le bilan officiel annoncé mercredi est de 3 993 morts et 64 586 cas confirmés.

 

Impulse Web Medias (IWM)
Sources : Le Monde , Hespress.com

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Lovelie Stanley NUMA

Lovelie Stanley NUMA, Journaliste Écologique et PDG Impulse WebMedias. Coordonnatrice Générale de l'association dénommée "Collectif des Journalistes Haïtiens Engagés pour l'Environnement (CoJHEE). La voix des sans-voix. Le journalisme utile c'est ma passion. Je travaille également pour des médias internationaux.