Les habitants de Solino dénoncent les mauvais traitements dans le camp de déplacés à l’OPC
Les déplacés de Solino, regroupés dans le camp de l’Office de la Protection du Citoyen (OPC), lancent un cri d’alarme. Ils font face à des conditions de vie déplorables, marquées par un manque crucial d’eau potable, de sanitaires et de sécurité. Ces citoyens vulnérables appellent les autorités à intervenir pour améliorer leur situation et leur garantir un retour sécurisé dans leurs foyers.
Depuis plusieurs mois, les habitants de Solino, contraints de fuir leurs maisons à cause de l’insécurité croissante, sont regroupés dans un camp de déplacés à l’OPC. Cependant, la vie dans cet espace est devenue un calvaire quotidien. Les familles, y compris des enfants et des personnes âgées, sont privées d’accès à l’eau potable et aux installations sanitaires de base. Cette situation désastreuse, dénoncée par les déplacés eux-mêmes, met en péril leur santé et leur dignité.
En plus des conditions insalubres, les habitants de Solino pointent du doigt l’absence de mesures de sécurité adéquates dans le camp. Ils expriment leur peur constante face à la possibilité d’attaques ou d’agressions, sans aucun recours à une protection effective. Face à ce tableau sombre, ils appellent les autorités étatiques et les organisations de défense des droits humains à intervenir urgemment pour assurer leur sécurité et travailler à leur réintégration dans leurs communautés d’origine.
Les déplacés de Solino, pris au piège dans une spirale d’insécurité et de misère, demandent une action rapide et concrète de l’État. Leur retour en toute sécurité à leurs domiciles est une priorité que les autorités ne peuvent plus ignorer.
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