Moïse Jean Charles, l’imposteur du siècle !
Il nous a toujours menti, bernés et roulés dans la farine. Mais il y a toujours eu, malheureusement, des idiots pour croire en son discours dévoyé et en sa bonne foi d’abolotcho.
Il est et a toujours été le prototype du politicien haïtien dans ses aspects les plus obscurs et les plus sales, les plus cyniques et les plus opportunistes. Ces politiques qui ont dévoré et dévasté Haïti dans leur jeu sordide de caméléon.
Ce faux leader représente le côté le plus sombre de la politique dans ce pays. Il sert de modèle parfait à Michel André et aux jeunes en devenir déjà pourris jusqu’aux os et perdus dans la jungle tels Pascal Adrien, Jorchemy Jean Baptiste et consorts et quasiment tous les chefs de file du Mouvement PetroCaribe.
Ce sont de ces chats que je ne cesse de parler. Arrêtons l’hypocrisie. Citons leurs noms et pointons-les du doigt. Ils sont nos maux du présent. Ils seront nos bourreaux de l’avenir. Nous devons leur barrer la route.
Disons les choses telles qu’elles sont et dévoilons les impostures aujourd’hui. Demain il sera trop tard. Cette société sombre dans le gouffre infernal parce que des hommes comme Jean Charles Moïse qui ont toujours été au pouvoir et dans les couloirs du pouvoir, nous ont menés en bateau et nous ont fait aboutir à ce carrefour de l’horreur et de la terreur. Ils sont ceux à qui nous passons la parole chaque jour pour les laisser débiter leurs insanités alors même que nous savons qu’ils sont des sales traîtres et des sales menteurs.
La presse aussi est un mal en putréfaction pour Haïti avec toutes ces têtes brûlées, ces idiots qui se font passer pour des analystes plus vides que les tonneaux. Des vendeurs de mots et de paroles qui s’engagent dans une voie dont ils ignorent les méandres juste pour se frayer un chemin et trouver des opportunités.
Ces hommes et femmes de midias ne sont pas mieux placés que Jean Charles Moïse qui a toujours le cul entre plusieurs chaises, défendant ses petits intérêts mesquins au détriment de cette population aveuglée, éméchée, hébétée.
Je l’ai dit. Je l’ai écrit. C’est une histoire de fou ici. C’est une tanière. C’est un antre du mal où les cadavres gisent sur les rues quotidiennement. C’est une caverne obscure, une caverne de brigands où la mort est devenue une conduite sociale plutôt qu’un rite naturel.
C’est dans cette glèbe de forçats que des hommes et des femmes typiques de Jean Charles Moïse s’abreuvent et se régénèrent. Ce sont des sangsues. Ils sucent l’espoir du peuple. Ce sont des renards. Ils s’abritent derrière leur audace et leur impudence pour aboyer et faire le travail des arracheurs de dents.
Dans la nouvelle Haïti, cette forme de presse et ces renégats n’ont pas leur place. Et alors, le blanc quel qu’il soit, saura qu’il ne pourra pas venir nous fourrer comme il le fait à sa putain ou à ses chiens politiques.
JJ pour la nouvelle Haïti 🇭🇹 ! (20/3/24)