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La section Environnement-Société d’Impulse Webmedias lance la « Semaine de la femme verte ».

Pourquoi reconnaître cette semaine comme semaine de la femme verte ?

8 Mars, c’est une journée internationale mettant en avant la lutte pour les droits des femmes et notamment pour la fin des inégalités par rapport aux hommes.

En effet, cette journée est issue de l’histoire des luttes féminines menées sur les continents européen et américain. Et c’est finalement en 1977 que les Nations Unies ont officialisé la journée, invitant tous les pays de la planète à célébrer une journée en faveur des droits de la femme et des filles.

Par ailleurs, la « Journée internationale des femmes » fait ainsi partie des 87 journées internationales reconnues ou introduites par l’ONU. C’est une journée de manifestations à travers le monde : l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes dans la société et de revendiquer plus d’égalité en droit.

En outre, traditionnellement, à l’occasion de cette journée, les groupes et les associations de femmes militantes préparent des manifestations partout dans le monde, pour faire aboutir leurs revendications, améliorer la condition féminine, célébrer les victoires et les avancées en ce qui a trait à leurs droits.

Bien souvent non reconnues, les femmes jouent pourtant un rôle crucial dans la préservation des écosystèmes fragiles, dans l’accompagnement des familles victimes de catastrophes naturelles et dans la gestion juste, efficace et durable des ressources naturelles. Les femmes et l’environnement font partie des 12 domaines majeurs de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing, adoptée à l’unanimité par les hauts dirigeants du monde entier lors de la quatrième conférence mondiale sur les femmes en 1995.

Le Programme d’action a mis en exergue trois objectifs stratégiques d’action gouvernementale sur l’environnement, à savoir, faire participer activement les femmes à tous les niveaux du processus décisionnel concernant l’environnement, prendre en compte leurs préoccupations et leurs points de vue dans les politiques et les programmes d’actions et mettre en place des mécanismes permettant d’évaluer l’impact que peuvent avoir les politiques de développement et environnementales sur les femmes.

Il faut rappeler qu’aucun pays ne peut réaliser son potentiel économique complet sans une participation équitable des hommes et des femmes. Au cours des dernières années, Haïti a réalisé des progrès importants en vue de faciliter l’accès aux femmes sur le marché du travail. La lutte pour l’égalité des sexes étant un processus à long terme, le gouvernement, la société civile, les organisations internationales, entre autres doivent s’impliquer pour entamer des réformes nécessaires et favoriser une participation des femmes dans la croissance économique et sociale, souligne un rapport de Banque Mondiale (BID) l’année dernière .

Impulse WebMedias et la section Environnement-Société souhaitent à toutes les femmes bonne continuation dans la lutte pour le respect de leur droit et leur intégration dans la société mondiale.

Lovelie Stanley NUMA

Journaliste écologique

PDG Impulse WebMedias

lostnuma85@gmail.com

Moïse CHARLES

Spécialiste en droit international de l’eau.

Gestionnaire et politicien de l’eau. charlesmoise722@gmail.com

Enock OCCILIEN

MSc. Eau et Environnement, et étudiant en master 2 Chimie des Matériaux et Catalyse.

enock00007@gmail.com

Professeur d’université

Image Google pour illustration

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Lovelie Stanley NUMA

Lovelie Stanley NUMA, Journaliste Écologique et PDG Impulse WebMedias. Coordonnatrice Générale de l'association dénommée "Collectif des Journalistes Haïtiens Engagés pour l'Environnement (CoJHEE). La voix des sans-voix. Le journalisme utile c'est ma passion. Je travaille également pour des médias internationaux.